Les services écosystémiques désignent l’ensemble des avantages que l’homme retire de la nature. Il peut s’agit de matières premières que nous exploitons, de processus biologiques vitaux comme le cycle de l’eau, de processus biologiques d’entretien comme la pollinisation ou même d’avantages immatériels comme le savoir ou le paysage.
L’activité contributive constitue un type de service écosystémique qui n’a pas encore été identifié et reconnu. Il ne s’agit pas d’un avantage immatériel, d’un patrimoine commun. Il s’agit véritablement d’une production utilisée comme la nature, pour rien ou presque, par le cycle de production lucratif.
On commence à défendre l’entrée en comptabilité des services écosystémiques, voire leur dédommagement, en vue de les préserver et de lutter contre les crises écologiques.
Définir l’activité contributive comme un service écosystémique permet d’appliquer la même logique de prise en compte et de dédommagement.
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