Les notes du livre renvoient parfois à des « tesselles » de mon livre précédent, « Le désir d’être humain. Résister à la société automate. » ou de mon œuvre littéraire, « Le récit des 3 Espaces ».
Il s’agit d’éléments autonomes qui composent une œuvre complexe, gérée par une base de données : un « topos numérique ». La rhétorique et la poétique d’un topos reposent sur les liaisons, les juxtapositions et les indexations de ses tesselles. Sa cohérence repose sur sa structure (ou modèle).
Traditionnellement, une « tesselle » désigne l’éclat de pierre ou de céramique qui est utilisé pour créer des mosaïques. Un topos est comme une mosaïque qui se recompose à mise en forme (éditorialisation) ou à chaque consultation.
« Revenir à l'index